🇹🇭 Une destination idéale pour un premier pas en Asie du Sud-est.

Jusqu’en 2016, j’avais eu l’occasion de faire plusieurs voyages dans des pays aux codes culturels familiers avec l’occident. J’avais vraiment besoin de changer ces codes et de découvrir quelque chose de totalement différent. Pour moi, il fallait que je parte en Asie du sud-est pour prendre la petite claque culturelle que j’attendais.

J’ai choisit de partir découvrir la Thaïlande. Longtemps, j’ai eu en tête les grandes capitales asiatiques, agitées, tentaculaires et trépidantes à la fois. Bangkok était une de celle qui m’intriguait. Mais c’est en montant mon itinéraire 🗺, que Chiang Mai m’est apparu comme une évidence pour son aspect culturel. Ainsi, j’ai choisi de commencer le voyage par cette ville pour en savoir un peu plus.

Un bout d’histoire

Autrefois, le Royaume de Lanna

Avant de devenir « La Thaïlande » en 1939, le pays a été pendant 6 siècles le « Royaume de Siam » (appellation qui demeure souvent utilisée dans le pays). Mais avant cela encore, le pays était éclaté en plusieurs royaumes, dont un situé au nord, le Royaume de Lanna.

Fondé par un certain Mengrai, homme de lignée royale, il était centré sur Chiang Mai. Mengrai fit construire autour de la ville des fortifications et un fossé, pour la protéger des convoitises frontalières.

Puis, l’influence birmane

Cela n’a pas empêché Chiang Mai de passer tantôt sous la gouvernance birmane, tantôt sous celle d’Ayutthaya, autre puissant royaume thaï. Dans la deuxième partie du XVIème siècle, Chiang Mai tomba sous domination birmane 🇲🇲 et ce, pour 200 ans environ. Au cours de ces années, la ville sera désertée par ses habitants, fuyant les conflits avec la Birmanie.

Avant un rayonnement culturel et économique

C’est plus tard, au XVIIIème siècle, que Chiang Mai est reprise aux mains birmanes et intégrée au Royaume de Siam. Elle connaitra, par la suite, une ascension culturelle et économique, en occupant une place commerciale importante dans le nord du Pays. Ce qui la hissera ainsi au rang de « Capitale du nord« .

La « Rose du nord »

Chiang Mai est aujourd’hui surnommée « La Rose du Nord ». La ville, très attractive, rayonne auprès des touristes. Elle est entourée de montagnes verdoyantes. Sa végétation luxuriante omniprésente, cache de magnifiques jardins, notamment autour des « Wat », les temples. Il y en aurait environ 300 dans toutes la ville, mais les plus importants se concentrent dans le cœur historique.

Quand visiter le nord de la Thaïlande ?

Avec un climat tropical, il fait chaud et humide. La région connait cependant trois saisons :

  • une saison fraiche 🥶 (moyenne des températures de 21 °C), entre octobre et février
  • une période estivale 🌞, de février à mai
  • et une période de pluies ☔️, de juin à octobre

D’ailleurs, selon moi, la période fraîche est à favoriser. Outre ses températures plus agréables, elle permet d’assister à la fête de Loy Krathong.
Cette célébration a lieu lors de la pleine lune du 12ème mois du calendrier lunaire. C’est LA fête des lumières thaï, en l’honneur de Bouddha.

Carte de situation

Le cœur de la ville ancienne et les temples

Il ne faut pas « visiter » Chiang Mai, il faut s’imprégner de son atmosphère. Traditions fortes, bouddhisme et scène culinaire sont les principaux atouts de la ville. Son histoire retentit dans son centre historique et ses environs proposent des excursions nature au cœur de forêts verdoyantes et de villages ethniques.

Comment s’organise Chiang Mai ?

Chiang Mai n’a pas forcément d’architecture très définie. Il ne semble pas y avoir de répartition très spécifique entre constructions récentes, et traditionnelles. Ce n’est peut-être pas un code architectural pour les occidentaux, car nos repères ne sont pas les mêmes. Mais la ville a cependant un centre historique autour duquel tout s’articule.

Délimité par l’ancienne enceinte de fortification, encore debout, plusieurs portes ouvrent l’accès au centre historique. De grands axes, un peu fréquentés, tracent les voies principales de circulation, et de nombreux « Soi » (petites allées) partent comme des ramifications le long de ces axes.

Pour trouver un « Soi », il suffit de repérer la grande rue sur laquelle il débouche. En effet, un Soi porte toujours le nom de sa ramification principale, suivi d’un numéro. Leur tracé est parfois un peu anarchique, mais certains sont parfaits pour trouver un hébergement loin de l’agitation de la ville.

J’ai d’ailleurs séjourné à l’hotêl Garden Yard Inn, au cœur de le vieille ville, sur Rachadamnoen road Soi 5, débouchant sur Rachadamnoen road.

Les temples de Chiang Mai

J’étais impatient de découvrir les temples et surtout l’atmosphère qui s’en dégage, et je n’ai pas été déçu ! On peut ne pas être spirituel ou religieux, mais difficile de ne pas succomber à la beauté de ces lieux de culte.

À peine 24 heures passées en Thaïlande et je découvre le Wat Phan On, au hasard, proche de notre hôtel. Il n’est pas le plus grand ou le plus en avant sur les guides de voyages, mais il offre une belle entrée en matière. Statues de Bouddha dorées, art de style Lanna, chedi recouverts de feuilles d’or, jardins luxuriants composent cet ensemble religieux.

Rare (voire inexistants) sont les sites internet institutionnels des temples les plus célèbres. Cependant, l’office de tourisme officiel de Thaïlande est une mine d’infos précieuses, accompagné du très complet Lonely Planet Thaïlande (ma bible) pour préparer son voyage.

Quelques règles à observer pour la visite des temples

Avant de pénétrer dans un lieux de culte il faut s’assurer de respecter les coutumes locales.

Quand vous rentrez dans un temple, il convient donc de :

  • retirer ses chaussures 👟
  • être habillé convenablement : 👔 dans certains temples, on vous demandera de couvrir vos jambes et vos épaules
  • ne pas désigner les choses avec le pied 👣
  • lorsqu’on s’assoit, ne pas positionner ses pieds face à Bouddha
  • respecter les moines en robe safran qui vivent dans les temples
  • respecter Bouddha : il vous sera rappelé que Bouddha n’est pas un objet de décoration.

En Thaïlande, le bouddhisme est la religion majoritaire. Le catholicisme est également présent. Le sud du pays est quant à lui à prédominance musulmane.

Architecture des temples

Petit lexique sur les temples avant tout :

  • chedi : c’est la structure en pointe qui fait penser à une cloche géante, posée sur le sol. Elle est parfois (même, très souvent) couverte de feuille d’or et abrite les reliques de Bouddha.
  • bot : la salle de prière la plus importante et la plus sacrée. Une statue de bouddha se trouve au fond de la salle, face à l’entrée. Autour du bot sont dispersées des stèles, sur lesquelles la roue de la loi ☸️ (Dharmachakra) est gravée.
  • wihan : salle de prière, moins importante que le bot, souvent moins décorée et sans les stèles autour.
  • mondop : structure en colonnes qui n’est pas fermée, et qui abrite des objets religieux de cultes.
  • D’autres termes désignent le reste des bâtiments, comme notamment les kuti : chambres ou « cellules » des moines vivant sur place.

Le site temple-thai.com est un guide parfait pour appréhender la visite et la découverte des lieux de cultes en Thaïalnde. Loris, un passionné, y a référencé, provinces par provinces, les temples qu’il a parcouru à travers tout le pays.

Le Wat Chedi Luang

S’il y a un temple à retenir en priorité c’est bien celui-ci. Le Wat Chedi Luang est le plus important de la ville et le plus fréquenté. On y trouve un Bouddha en jade, réplique de celui d’émeraude que l’on trouve à Bangkok.

Face à l’entrée du bot principal, se trouve un Bouddha debout et ses deux disciples. Son chedi était jadis un des plus haut de la ville mais un tremblement de terre l’a fortement endommagé. Il n’a été que partiellement restauré depuis (avec l’aide de l’UNESCO).

Le Wat Phra Singh

C’est le temple du Bouddha lion, une statut dorée qui possède deux autres exemplaires en Thaïlande, dont une à Bangkok. Elle est la statue la plus honorée de la ville. A l’occasion du nouvel an Thaï, elle parcourt la ville lors d’une procession.

L’intérieur de son bot permet d’admirer également de nombreuses fresques murales typique de l’époque Lanna. C’est également un des temples les plus vénéré de la ville.

Le Wat Phantao

Le végétal est à l’honneur dans ce temple. Outre un son très beau jardin, comme dans beaucoup de temples, le teck est le matériau principal de son wihan. A l’intérieur, les immenses colonnes de teck soutiennent la charpente qui abrite un Bouddha assis. Lors de mon voyage en 2016, son chedi était nu de ses feuilles d’or, en vue de travaux de restauration.

Les marchés de la ville

Sunday Market

Le dimanche soir, dans la vieille ville, c’est soir de marché. En fin d’après-midi, les marchands s’installent dans les rues dont la circulation est coupée. Petit à petit, une partie de la vieille ville se remplit, pour finir noire de monde pendant toute la soirée.

Si vous n’êtes pas agoraphobe, alors il faut se mêler à cette foule effervescente. De nombreux stands proposent « des tonnes de tas de trucs ».

Talat Warorot

Situé à l’Est de la vieille ville, ce marché se reparti sur deux bâtiments, mais pas que ! Les étals de nourritures, d’artisanat, de souvenirs, de gadgets, de vêtements ou même de quincaillerie, se répandent même dans les rues alentours.
Se rendre au Talat Warorot est, selon moi ,une expérience incontournable pour découvrir l’ambiance des marchés thaï. C’est aussi une parfaite occasion pour une expérience de street food. Tenterez-vous par exemple de goûter au Durian ? Ce fruit à l’odeur si particulière qu’il peut être interdit dans certains lieu. Il se consomme sous plusieurs formes, même en bâtonnet de glace.

Night Bazar

Vous comprendrez donc que les marchés sont légions à Chiang Mai (et même dans toute la Thaïlande). Le Night Bazar se trouve au sud de Tha Pae road, à mi chemin entre la porte éponyme et le pont Nawarat. Ce marché exprime tout le sens du mot « Bazar ». Bric à brac, vêtements, artisanat et street food, vous trouverez égelement de tout ici.

Loy Krathong, la fête des lumières

La fête de Loy Krathong – Nawarat Bridge

La fête des lumière thaï 💫 ! Pour vous imaginer le ton de cette fête, ne retenez pas la célèbre Fête des Lumières de Lyon. Il y a en effet un fond religieux et des lampions, mais jusqu’à présent, on est loin des projections de lumières « arty » sur les bâtiments.

Loy Krathong est plus proche des festivités de Divali en Inde, où l’on célèbre les divinités brahmaniques par la lumière. En Thaïlande, c’est Bouddha qui est à l’honneur. On fait voguer des bougies 🕯 posées sur de petits radeaux fabriqués en feuilles de bananier, sur la rivière Ping.

Certaines boutiques ou stands dans la rue vendent des petits radeaux prêts pour leur épopée. Assurez-vous qu’ils soient confectionnés à l’aide de matériaux naturels. Beaucoup peuvent être en matières plastiques et, pour des raisons évidentes, n’ont pas de grandes vertus écologiques.

Les habitants allument également les lanternes célestes 🏮(cylindriques) et les lâchent dans les airs. Cela symbolise l’abandon de la rancœur et de la colère. Le ciel au-dessus de la ville est donc parsemé de point lumineux à mesure que les lanternes s’élèvent.

Pendant ces fêtes, l’ambiance est festive et effervescente. Le peuple Thaï sort dans la rue et se rassemble pour les célébrations. Les abords de Nawarat bridge sont très fréquentés. C’est une fête qui symbolise pour eux un nouveau départ.

La Montagne Doi Suthep

Wat phrathat Doi Suthep

🏞 La montagne Doi Suthep (« Doi » signifie montagne), culminant à 1 676m, abrite un des temples les plus importants de la région, et du pays : le Wat Phra That Doi Suthep.

L’histoire raconte qu’un éléphant blanc, transportant la relique jumelle d’un os de Bouddha, vécut ses derniers instants à l’endroit où se trouve le temple. La copie dédoublée « par miracle » de la relique, trouvée à Pang Cha par un moine de Sukhotahi, se trouve sous le chedi dorée du deuxième niveau. Une statue de l’éléphant blanc se dresse, quant à elle, sur la terrasse du premier étage du temple.

L’ensemble des bâtiments est magnifique et son emplacement offre une vue incroyable sur toute la ville de Chiang Mai ! Il abrite également le Centre International du Bouddhisme qui dispense un enseignement religieux.

Pour se rendre au temple, on prend un Songhtaew (taxis collectif) depuis le nord de la vieille ville, à la Chang Phuak Gate. Le transport coûte environ 40 Bhat et il faut 30 à 40 minutes pour faire le trajet.

A la sortie du songthaew, c’est un escalier de plus de 300 marches, aux rambardes en écailles de dragon 🐉, qu’il faut gravir pour rejoindre l’entrée du temple.

Le Parc Nationnal Doi Suthep-Pui

Le complexe religieux du Wat Phra That Doi Suthep, se trouve dans le Parc National Doi Suthep-Pui. Il abrite une flore sauvage riche et une faune qui compte quelques 300 espèces différentes d’oiseaux.

Pour rejoindre le cœur du parc, il est possible de prolonger le trajet en Songthaew depuis Wat Phrathat Doi Suthep, jusqu’au Doi Pui Camping Area par exemple. Le Camping peut être une bonne base. Il loue vélos, tentes 2 places et sacs de couchage.

En chemin vous passerez à proximité du palais Bhubing, résidence qui appartient à la famille royale avec de magnifiques jardins. Aux alentours, de nombreuses balades et randonnées sont possible dans les forêts luxuriantes et au abords de cascades magnifiques.

Il est aussi possible de rejoindre Wat Phrathat Doi Suthep, en arpentant la montagne, sur le Monk’s Trail. Ce sentier commence en périphérie de la ville, derrière l’université de Chiang Mai. Il rejoint Wat Phra Lat puis, Wat Phra That Doi Suthep.

Pour séjourner dans les environs, il y a deux sites de camping au cœur du parc : un premier situé au nord du village Hmong de Doi Pui et l’autre, non loin de l’entrée des cascades Mon Tha Than qui propose aussi des bungalow.

Quid des Éléphants ?

Un animal emblématique, mais un tourisme encore peu encadré

La région nord de la Thaïlande est également connue pour ses activités touristiques liées aux Éléphants d’Asie 🐘 (Elephas maximus). En effet, de par sa popularité et son utilisation traditionnel pour le transport, un tourisme folklorique s’est développé. Tourisme parfois peu encadré qui peut engendrer une surexploitation de l’animal qui, si mal mené, peut s’avérer être un danger pour l’homme, face à la puissance de l’animal.

Cependant, l’Éléphant d’Asie est devenu l’animal emblématique du pays par son histoire, et le tableau n’est pas tout noir. Des familles de certaines ethnies ont un quotidien bien loin des nôtres. Ils ont besoin de se déplacer pour vivre et commercer. L’éléphant est un vrai support pour de vie pour eux et ils savent comment nouer le lien de façon respectueuse.

Une approche respectueuse de l’animal

L’éducation et la sensibilisations sont donc primordiales. Aussi, si vous chercher à approcher le pachyderme, je ne peux que vous conseiller de le faire avec beaucoup de respect pour l’animal. Des centres ont très bonne réputation. Certains réhabilitent des individus malmenés et sauvés par des associations. De nombreux établissement travaillent aujourd’hui à sensibiliser les populations locales.

Je n’ai, hélas, pas eu le temps au cours de mon voyage, de mettre sur ma route une étape dans un de ces centres. Cependant j’avais noté quelques adresses qui me semblaient vertueuses dans le domaine et dont la cause me correspondait :

  • Elephant Nature Park : Cette association a pour but de prendre en charge les éléphants, traumatisés par une mauvaise relation avec l’homme. Les traumatismes peuvent être physiques ou même psychologiques. c’est pourquoi Sangduen « Lek » Chailert prend un soin particulier à agir pour la protection, la préservation et la réhabilitation des individus de l’espèce.
  • Patara Elephant Farm : plus proche de la ville de Chiang Mai que le précédent (à 30 km environ), ce centre travaille à changer les mentalités en se servant du tourisme pour favoriser le déclin des Éléphants domestiques. Pour cela, il se concentre sur le maintien du lien entre la mère et son éléphanteau.

Les centres approchent de près la vie du cornac (le mahout – la personne qui monte l’éléphant et en prend soin). Ils expliquent les interactions historiques entre l’animal et l’homme, notamment pendant le moment du bain de l’animal : une étape cruciale pour le bien être de l’éléphant, même domestiqué !


Et si on mangeait ?

Oui, nous allons manger 😅. Ce serait un sacrilège de ne pas s’aventurer aussi dans la gastronomie du pays.
En effet, la Thaïlande c’est aussi un royaume gastronomique ! Du nord au sud, de l’est à l’ouest, les régions ont toutes leurs spécialités plus succulentes les unes que les autres.
L’Isan, dans l’ouest du pays, est la région la plus connue pour la gastronomie, mais Chiang Mai est loin d’être sur la touche. Voici une liste de quelques plats thaï, que j’ai gouté pendant mon séjour dans la ville, et que je vous détaillerai en recettes dans un autre article.

Peu épicé 🌶, épicé 🌶🌶 ou trop épicé 🌶🌶🌶 ? : choisissez votre puissance !

Certains plats peuvent être très relevés et, suivant les goûts de chacun, cela peut être plus ou moins supportable. On peut rapidement vivre une mauvaise expérience. C’est pourquoi, vous verrez très souvent le symbole du piment sur les cartes des restaurants. À savoir :

  • 🌶 : c’est correct mais ça commence à piquer ! : si vous aimez épicé, restez-en à ce niveau
  • 🌶🌶 : ça chauffe, ça chauffe ! : si vous voulez vous challenger sur le supportable !
  • 🌶🌶🌶 : so long my friend ! Autrement dit : « Adieu mon ami » … !

Quelques plats

Vous aimez les plats à base de noix de coco, de tofu, de gingembre, de noix de cajou, de nouilles de riz, de coriandre, de curry (rouge, vert, jaune) de citron vert et de citronnelle … ? Alors la Thaïlande est le paradis pour vos papilles !

  • 🍲 Pad Thaï : un plat de nouilles de riz sauté, cuisiné au wok avec, selon les versions, de la viande ou des crevettes. La sauce, qui fait toute la saveur de ce plat, est à base de tamarin et de sauce soja.
  • 🍜 Chiang Mai Noodles : Khao Soi. Un bol de nouilles de riz dans un bouillon à base de lait de coco et de curry.
  • Tom kha kai : célèbre soupe de poulet au lait de coco, mijotée avec des champignons de paille et de petites aubergines thaï, légèrement citronnée et potentiellement très pimentée.
  • 🍧 Coconut ice cream and sticky rice : vendu par des marchands ambulants dans Chiang Mai, c’est une combiné de riz gluant sucré, surmonté d’une glace gourmande à la noix de coco. Des noix (cajou) concassées et des grains de riz soufflés peuvent parsemer le tout.

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